Très jeune festival créé en 2019, ce Festival a déjà une excellente réputation qui donne envie d'y participer. Hervé a donc postulé avec la version 2025 de l'exposition « Plumes Blanches ». Et nous avons eu le plaisir d'y être retenus !

Nous avons donc découvert la ville de Saint Claude début avril, et nous attendions beacuoup de ce Festival, tant les échos que nous avions pu recueillir des éditions précédentes étaient élogieux. Nous avions donc placé très haut la barre de satisfaction... Allions-nous trouver tout ce que nous attendions ?

Et bien non, car nous y a avons trouvé bien plus !

En effet, alors qu'il ne soufflait en 2025 que sa cinquième bougie, ce Festival dépasse par sa qualité bien des festivals pourtant nettement plus anciens.
Que ce soit l'accueil des exposants, la qualité des stands, la précision de l'organisation, le logement offert chez des bénévoles, la mise en lumière des tirages, la fréquentation, les animations prévues pour les plus jeunes, la restauration... bref, arrêtons là dans cette liste car quel que soit le sujet, tout était mené avec réussite et sourire !

Un exemple de tout cela ? Difficile à trouver tant nous avons apprécié ce Festival.
Citons la présentation des stands. Ceux-ci sont conçus en bois et toile, avec un éclairage pour chaque photo, suffisamment déporté pour ne générer aucune ombre et disposer d'une couverture suffisante sur chaque tirage.
La conception montre au premier coup d'oeil que tout a été parfaitement réfléchi : facilité de montage et stockage, discrétion des alimentations électriques... Bref des stands qui montrent qu'ils ont été imaginés par des photographes, qui, eux-mêmes exposants depuis de très longues années, connaissent parfaitement les besoins et attentes de chaque exposant.
De plus, ces panneaux ont été réalisés avec le concours de l'ESAT de Saint CLaude, signe que toute l'organisation de ce Festival a su mettre en musique les ressources de cette ville et alentours.

Il reste toutefois une ombre au tableau. Il n'est pas possible d'exposer deux années consécutives à ce Festival afin de faire tourner les exposants. Et de plus, avons-nous bien fait de poursuivre ses éloges, qui va donc attirer de plus en plus de photographes au risque de ne plus pouvoir y exposer nous-mêmes... Cruel dilemne !

En résumé, le FINA, un festival à voir et consommer sans modération ! Un grand merci à toute l'équipe organisatrice et à tous les bénévoles que nous avons pu rencontrer.