Encouragés par le premier Carnet de Voyage sur l'Australie, nous avons repris la plume, le tri d'images et la conception informatique pour concevoir un deuxième volume, consacré cette fois à un voyage aux Galápagos que nous avions effectué, Laurence et Hervé, en 2004. Nous avons préparé ce carnet au début de l'année 2010 pour le présenter aux côtés de notre « Carnet d’Australie » lors de notre exposition au Festival de Montier en Der fin 2010.

La préparation a été un peu plus longue car il a fallu rassembler des souvenirs plus anciens, et préparer les images qui en cette année 2004, étaient encore toutes argentiques.

Le voyage décrit un séjour de douze jours sur place, qui a permis de visiter un très grand nombre d'îles, y compris les plus septentrionales. Depuis, la durée des séjours a été réduite et il n'existe plus de séjour aussi complet dans les îles. Ce carnet de voyage offre ainsi un éventail large permettant de choisir un groupe d'îles plutôt qu'un autre pour une personne intéressée par un tel voyage.

La partie chronologie est ici construite d'île en île et propose, pour chacune, les principales observations effectuées.

Les galeries, au nombre de trois, présentent environ 150 photographies regroupées par zone géographique de l'archipel.

Iguanes marins et terrestres, otaries des Galápagos, mais surtout oiseaux illustrent ce paradis naturaliste décrit par Darwin, et dans lequel la proximité avec la faune est surprenante !

La section des fiches naturalistes propose quelques fiches de mammifères marins, de reptiles et de crustacés, mais ce sont les oiseaux que nous avons le plus rencontrés et nous proposons ainsi 23 fiches de description d'oiseaux.

Un voyage au Galápagos passe nécessairement par une partie organisée par une agence, depuis la France ou sur place, car la règlementation d'accès aux îles de cet archipel protégé impose de passer par un circuit en bateau organisé par une des multiples sociétés locales.

L'hébergement est réduit essentiellement au bateau, seule une nuit d'hôtel en début ou en fin de séjour étant nécessaire pour permettre les correspondances entre courts et longs courriers.