Après quatre années sans participer, j'ai envoyé de nouveau quelques photographies au concours de Montier en Der.
Mes trois images envoyées en catégorie « Oiseaux » ont été retenues par le jury pour la phase finale de sélection, mais hélas, aucune n'a franchi la dernière marche !
Une de mes photographiqe a été retenue par le jury de ce concours pour être exposée.
Elle illustre une recherche graphique que j'ai effectuée à partir de quelques images depuis mi 2018 et qui a abouti à une nouvelle exposition « Plumes Blanches »
Ce couple d'échasse vient se terminer son accouplement, et, rituel caractéristique de cet instant, mâle et femelle s'accompagnent le temps de quelques pas côte à côte.
Cette image a également été retenue en phase finale du concours European Wildlife Photographer of the Year, à Lünen en Allemagne, en octobre 2019.
Un pas de plus cette année, puisque cette fois, ce sont deux de mes images qui sont retenues en phases finales, au lieu d'une l'année dernière.
La première est une image de râle d'eau, se réfléchissant à la surface de l'eau en fin de journée, la seconde est le portrait de bécassine des marais que le Festival de l'Oiseau avait retenu l'année précédente.
Ces deux images proviennent du bassin d'Arcachon.
Pour ma troisième année de participation, une des images proposées à ce concours organisé par la GdT allemande, a franchi les premières sélections pour atteindre la phase finale.
Il s'agit d'un héron cendré, photographié par un matin très brumeux sur le bassin d'Arcachon.
Après avoir été sélectionné mais non exposé en 2014 et 2015 au concours de ce Fesival, 2017 me permet de nouveau d'être exposé dans la catégorie « Portrait ».
Il s'agit d'un portrait de bécassine des marais photogréphié sur le Bassin d'Arcachon.
Cette année, deux de mes images ont été sélectionnées par le jury du concours du Festival de l'Oiseau pour figurer dans l'exposition.
La première est une photographie de chardonneret élégant, distinguée dans la catégorie « Oiseaux du jardin ».
Je l'ai prise un jour de forte pluie. La faible luminosité a conduit à allonger le temps d'exposition, les gouttes de pluie apparaissent ainsi telle une multitude de tirets blanchâtres tout autour de l'oiseau.
La seconde est un portrait d'un fou de Bassan, exposée dans la catégorie Vision artistique de l'oiseau. Elle provient de la colonie de l'île de Bonaventure, à la pointe de la Gaspésie au Québec.
Tout ce site reflète notre passion familiale de la photographie de nature. Et la sélection de cette image, ainsi que celles que vous pouvez voir de la même série parmi les images primées de Brieuc, Maud et Laurence, est pour nous une grande satisfaction. En effet, elle fait partie d'une série de cinq images que nous avons soumises en tant que mini-série familiale au concours de Namur. Cette récompense n'en est que plus appréciée par cet aspect partage familial.
L'image représente une scène rarissime à laquelle nous avons eu la chance d'assister : la chasse d'une femelle ours noir sur un jeune orignal.
Pour l'anecdote, Maud venait de me dire qu'il allait certainement se passer quelques chose, puisque je portais à l'épaule le téléobjectif de 500 mm sans boîtier. Il a fallu que je monte rapidement un boîtier sur l'objectif quand nous avons vu surgir cet ours !
La série de cinq images fait partie des trois séries retenues par le jury du concours de Namur.
Chaque hiver, nous installons une mangeoire près de la maison pour les passereaux. Et nous en profitons pour les photographier depuis une pièce de la maison transformée en affût. Plusieurs espèces visitent quotidiennement perchoirs et mangeoires, mais les venues de la sitelle torchepot sont plus rares.
En déplaçant d'un mètre le trépied, nous pouvons passer d'un fond gris sombre à cet arrière plan uniformément rouge. Il s'agit tout simplement des branches de l'année d'un saule crevette dépourvu de ses feuilles en hiver.
Cette image a été retenue par le jury du Festival de l'Oiseau pour figurer dans l'exposition, pour la catégorie « Portrait d'oiseau ».
Cette photographie de sterne arctique apportant un poisson à son jeune vient de Finlande.
La lumière était déplorable en ce jour très pluvieux, et nous avions trouvé en contrebas d'une digue, le long d'un parking, un oisillon de sterne que ses parents nourrissaient en se relayant. L'instant de passage du poisson d'un bec à l'autre est très bref et l'oisillon avale en une bouchée les poissons rapportés.
Cette image a été classée deuxième de la catégorie « L'oiseau et son comportement ».
Certes ce n'est pas un prix, mais je ne cache pas mon plaisir d'avoir réussi à atteindre la finale de ce concours, plus grand concours international de photographie de nature. Pour un photographe amateur, c'est un privilège de glisser ainsi un orteil dans la cour des grands photographes !
Ce chevalier gambette a été photographié en Islande lors de notre troisième voyage en 2006. J'avais remarqué la possibilité de cadrer en obtenant ce fond rouge uniforme qui rappelle la couleur des pattes et du bec de cet oiseau. Il s'agit tout simplement, à l'arrière plan, de la toiture en plaques métalliques peintes d'une maison située en contrebas.
Ma toute première photographie primée dans un concours est cette sterne actique en vol. Mais cela fait longtemps et je ne me souviens plus si c'était en 1999 ou en 2000. Et alors qu'internet donne l'illusion de délivrer toutes les informations que nous pouvons chercher, ses limites se révèlent bien vite pour constater que les archives ne sont pas conservées.
Cette sterne a été photographiée lors de notre deuxième voyage en Islande en 1998.
Le jury du concours l'avait sélectionnée pour l'exposition, mais c'est le public qui l'a le plus appréciée puisqu'elle a reçu le prix du public.